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Conseils

Imerys Pixabay.com

Imerys, une valeur cyclique prête à redémarrer

Les titres les plus cycliques de la cote devraient retrouver les préférences des investisseurs à la faveur du rebond de l’économie en 2021. Ce spécialiste des spécialités minérales pour l’industrie, qui a démontré sa capacité de résilience et de réaction au cours du premier semestre, devrait en profiter. En attendant, son rendement, supérieur à 6%, constitue à lui seul un argument d’achat.

Affine pixabay.com

Gecina, la résilience et l’attrait du centre d’affaires de Paris

Le charme de Paris ne semble plus opérer. Grâce à ses bureaux situés dans le centre des affaires de la Capitale, la foncière a pourtant passé la première moitié de l’exercice sans trop d’encombres, avec un taux de recouvrement des loyers de 95%. Mais les marchés n’en ont cure, focalisés qu’ils sont sur les risques d’impayés et l’avenir des bureaux.

Neurones. Pixabay.com

Sword, une capacité à croître quel que soit l’environnement

Cette société de services informatiques vient de céder ses activités en France. Elle possède des positions fortes au Royaume-Uni et auprès des institutions européennes. Les résultats du premier semestre ont confirmé sa capacité à délivrer une croissance organique soutenue en toutes circonstances. Son carnet de commandes bien garni offre une belle visibilité sur son activité.

Eramet Pixabay.com

Eramet, un pari sur la poursuite du rebond des prix du nickel

Elon Musk, l’emblématique patron de Tesla, a fait récemment part de ses inquiétudes quant à une possible pénurie de nickel, un métal indispensable à la fabrication des batteries pour les voitures électriques. Assistera-t-on en conséquence à une ruée sur le « métal du diable ? Les cours du nickel s’inscrivent déjà en hausse depuis plusieurs mois. Pour le plus grand profit du groupe minier et métallurgique français. Son retour à meilleure fortune est un pari.

Philippe Berterottière, président directeur général de GTT

Séché Environnement maintient son cap

Les résultats du premier semestre de ce spécialiste du traitement des déchets dangereux se sont révélés plutôt résilients. La bataille entre ses deux grands concurrents, Veolia et Suez, lui fait de l’ombre en bourse, mais il pourrait profiter de la fusion pour se renforcer, des cessions étant inévitables.

Séché Environnement maintient son cap

Les résultats du premier semestre de ce spécialiste du traitement des déchets dangereux se sont révélés plutôt résilients. La bataille entre ses deux grands concurrents, Veolia et Suez, lui fait de l’ombre en bourse, mais il pourrait profiter de la fusion pour se renforcer, des cessions étant inévitables.

Arkema - Pixabay.com

Arkema, de la résilience, des ambitions et des engagements verts

Le groupe de chimie s’est montré résilient au premier semestre en dépit de la crise sanitaire, il s’est assigné des objectifs de croissance ambitieux à l’horizon 2024, et s’est engagé à réduire ses émissions de CO2 et son empreinte environnementale. Un profil attrayant pour un groupe industriel que la Bourse ne valorise pas pleinement.

Oeneo, retour à la case départ

Cette très belle affaires familiale, présente dans la filière vitivinicole, est retombée en bourse à son niveau pré-OPA lancée en début d'année à 13,50 euros. Une opération jugée à l'époque peu généreuse par les actionnaires minoritaires. Marquée par la crise, l'année en cours s'annonce comme un exercice de transition avant un retour à la croissance dès l'an prochain. Une bonne occasion de redécouvrir le dossier.

Maurel et Prom pixabay.com

Rubis, tout à un prix

Positionnée sur la distribution et le stockage de produits pétroliers, cette très belle affaire fait l'objet d'une forte défiance de la part des investisseurs. Si les comptes du premier semestre portent les stigmates de la crise, les fonds d'investissement reprochent à la société de ne pas remplir les critères ESG et la sortent de leurs portefeuilles. Au point que sa valorisation apparaît très (trop) décotée.

Total Pixabay.com

Total, la reconversion est en route

Le groupe pétrolier va accélérer au cours de la décennie à venir ses investissements dans l’électricité bas carbone. Mais ce changement n’est pas de nature à court terme à modifier la perception de la valeur par les marchés. Son rendement élevé et pérenne (plus de 9%) et le redressement attendu des prix du pétrole en 2021 devraient en revanche soutenir le titre.

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